Le Docteur Edward Bach est né le 24 septembre 1886 à Moseley, un petit village près de Birmingham en Angleterre et est décédé en 1936 à l’âge de 50 ans. Il commence ses études de médecine à l’Université de Birmingham en 1906 à l’âge de 20 ans et devient médecin en 1912. Il gravit tous les échelons et obtient avec succès les meilleurs diplômes de l’époque, notamment ceux de docteur en médecine et membre du Collège Royal de chirurgie. Il s’intéresse à l’immunologie et découvre la correspondance entre certaines toxines de germes intestinaux et les maladies chroniques. Après des mois de recherches, il met au point des vaccins homéopathiques que l’on appelle “les 7 nosodes de Bach”, encore d’usage de nos jours en Angleterre et qui se révèlent très efficaces. Le succès médical des nosodes lui apporte la notoriété et la reconnaissance de ses pairs. tant homéopathe qu’allopathe. Perfectionniste, il cherche constamment à améliorer la médecine et étudie la mise au point d’un système pouvant venir en aide aux personnes qui sont en mal-être. Il aimerait trouver une méthode naturelle, simple, à la portée et surtout qu’elle soit efficace. Combatif, simple, vif et volontaire, il travaille sans répit jour et nuit. Dès qu’il dispose de temps libre, il va dans la nature à la découverte de ses remèdes car il sait que c’est ici qu’il trouvera ce qu’il recherche. Il prend conscience que dans le traitement de la maladie, la personnalité du malade est bien plus importante que le physique et fondamentale pour déterminer son traitement. Il cherche la plus profonde compréhension de ce qu’est la maladie elle-même, de sa cause, de ses effets sur le corps et l’esprit. En 1928, il découvre ses trois premiers remèdes: Impatiens, Mimulus et Clematis. Dès lors, il commence à soigner ses patients avec ces trois remèdes en fonction de leur caractère. ll sait qu’il est sur le point de trouver un nouveau moyen pour leur venir en aide, décide de fermer son cabinet de Londres pour se consacrer à la recherche d’autres élixirs floraux et s’installe au Pays de Galles. Il met sept ans pour trouver tous ses remèdes, met au point le “Rescue Remedy” (remède d’urgence) et soigne gratuitement tous ses malades. Il ne tire aucun profit de la vente de ces élixirs pour qu’ils soient à la portée de toutes les bourses. Son combat de tous les jours est de soulager les souffrances des malades et de leur donner la possibilité d’être autonome avec la méthode. Sa démarche a toujours été guidée par l’amour et la compassion. Il a offert toute sa richesse et sa santé pour se mettre au service des autres. Jusqu’à la fin de sa vie, il se dépensera sans compter, formant des assistants, répandant sa méthode par des confrères, diverses publications ainsi que des conférences. Son corps lui servant de laboratoire vivant, il teste sur lui-même tous les élixirs. Il est ainsi capable d’entrer dans divers états psychiques ou émotionnels caractéristiques, de ressentir et de percevoir dans les réactions de son corps toutes les propriétés curatives des plantes spécifiques recherchées. Sa mission terminée, épuisé, il s’endort dans un profond sommeil le soir du 28 novembre 1936. En avance sur son temps, il laisse au monde une thérapie complète avec ses élixirs floraux et sa philosophie plus que jamais d’actualité. Après sa mort, son assistante Nora Weeks, avec un collaborateur, Victor Bullen, poursuit le travail du docteur Bach. Ils animent des conférences et continuent à conseiller les fleurs de Bach. En 1955, ils réussissent grâce à une collecte de fonds à acheter la maison de Mount Vernon, maison et lieu de travail du Docteur Bach. Depuis 1958, la maison appartient à la Fondation Docteur Edward Bach pour la guérison. Ce lieu est connu comme le Centre Bach. C’est là que l’on prépare encore les teintures mères selon les indications laissées par le docteur Bach qui servent de base pour la réalisation des flacons que l’on trouvent dans le commerce, en pharmacie et parapharmacie.