© Sophrofleurs 2016
Fleurs de Bach
Le deuil est une épreuve que nous avons tous vécus ou que nous vivrons à un moment de notre vie.
Il
peut
signifier
plusieurs
choses:
La
perte
d'un
emploi
(faire
le
deuil
de
son
travail),
le
deuil
d'un
rêve,
le
deuil
de
son
corps
lorsque
l'on
subit
une
opération
chirurgicale,
pour
une
séparation,
un
divorce,
la
perte
d'un
animal
et
bien
sûr
la
perte
d'un
être cher.
Le deuil d'un être cher
Penchons-nous
d'abord
sur
le
deuil
d'un
être
cher,
à
l'annonce
de
la
mort
de
la
personne
que
l'on
aime,
à
cette
peine,
cette
souffrance
qui
envahit
notre
psychisme
au
moment
du
décès
et
même
dans
les
mois
qui
suivent.
Cette
douleur
qui
semble
s'éterniser. enserrer notre coeur et vider notre corps.
Le
mot
"deuil"
vient
du
latin
dolus
signifiant
"douleur".
Faire
son
deuil
ne
signifie
pas
"terminer
et
passer
à
autre
chose"
mais
représente
une
période
pendant
laquelle
nous
éprouvons
une
douleur.
Si
la
perte,
la
mort
et
le
deuil
constituent
une
facette normale et universelle de notre existence, ceux qui s'y trouvent confrontés vivent un véritable enfer.
Le
deuil
nous
isole,
provoque
une
montée
d'émotions,
nous
ébranle
à
différents
niveaux:
physique,
psychologique,
social,
spirituel
et
émotionnel.
Chacun
d'entre
nous
vit
le
deuil
différemment
et
n'a
pas
les
mêmes
réactions.
Il
est
très
important
de ne pas se juger ou de juger les autres.
Il est sûr que ce n'est pas le plus joyeux des thèmes mais nous sommes tous concernés.
Nous étudierons les Fleurs de Bach que vous pouvez utiliser pour vous aider et vous soutenir à chaque étape.
Prenons
les
différents
stades
du
deuil
selon
Elisabeth
Kübler-Ross,
médecin
psychiatre
internationalement
reconnue:
le
déni,
la
colère,
le
marchandage,
la
dépression
et
l'acceptation.
La
courbe
du
deuil
se
divise
en
deux
phases:
une
phase
de
descente
puis
une
phase
de
remontée
avec
ses
différents
stades.
Chacune
de
ces
étapes
a
son
importance
et
il
n'y
a
pas
de
période
considérée
comme
normale.
Les
personnes
de
l'entourage
sont
parfois
maladroites
dans
ce
genre
de
situation
et
ne
savent
pas
comment
faire
pour
vous
aider.
Même
s'il
est
parfois
difficile
de
demander
de
l'aide,
n'hésitez
pas
à
être
clair
quand
ça
ne
vas
pas
et
expliquez
les
choses.
Il
est
souvent
dur
de
se
confier
à
cause
de
la
peur
du
regard
des
autres
sur
soi.
Vous
pouvez
bien-sûr
consulter
un
psychologue
et
aussi
trouver
des
aides
venant
de
différentes
techniques
comme
la
sophrologie,
la
kinésiologie,
l'hypnose
thérapeutique,
d'autres
médecines
douces
et
évidemment
les
Fleurs
de
Bach.
Le déni
C'est la première étape du deuil, celle du choc, du déni, de l'incrédulité et de la sidération.
Cette
courte
phase
du
deuil
survient
lorsque
l'on
apprend
la
perte.
C'est
une
période
plus
ou
moins
intense
où
les
émotions
semblent
pratiquement
absentes.
C'est
encore
plus
fortement
ressenti
si
la
perte
est
brutale.
Nous
nous
disons
que
ce
n'est
pas
possible
et
ne
l'acceptons
pas
malgré
l'incontournable
évidence.
Nous
avons
l'impression
d'être
dans
un
mauvais
rêve,
un
cauchemar.
Il
arrive
que
des
personnes
continuent
de
parler
du
défunt
comme
s'il
était
encore
là.
Ils
savent que la personne est décédée mais cette prise de conscience n'a pas encore atteint des niveaux viscéraux.
Il
nous
est
souvent
impossible
d'imaginer
qu'il
ou
elle
ne
franchira
plus
jamais
le
seuil
de
la
maison.
On
s'accroche
à
l'espoir.
Cette
première
étape
du
deuil
permet
de
survivre
à
la
perte.
Nous
sommes
en
état
de
choc,
sidérés,
paralysés,
anesthésiés.
Le
déni
nous
aide
à
faire
face
à
l'existence,
à
apprivoiser
nos
sentiments
et
notre
douleur.
C'est
un
mécanisme
de
protection
psychique
d'où
son
importance.
Il
se
traduit
souvent
par
un
questionnement
de
la
réalité:
"Est-ce
vrai?",
"C'est
vraiment
arrivé?",
"Il
est
vraiment
parti?".
On
ne
se
console
jamais
de
la
perte
d'un
être
aimé,
mais
il
nous
faut
apprendre
à
vivre
avec
cette
absence
sans
pour
autant
que
le
deuil
soit
synonyme
d'oubli.
En
sortant
progressivement
du déni, nous recouvrons des forces et tous les sentiments jusque là refoulés affleurent à la surface.
Les
Fleurs
de
Bach
aident
à
neutraliser
le
choc
afin
qu'il
ne
bloque
pas
les
habitudes
journalières
et
notre
fonctionnement quotidien. Le
“rescue”
est très important lors d'un état de choc ou d'annonce brutales.
La
"Star
of
Bethlehem"
(Etoile
de
Béthléem)
est
utilisée
pour
le
choc,
le
déni,
la
sidération,
le
chagrin,
la
douleur
morale
et
l'effondrement
émotionnel.
Cette
fleur
peut
nous
aider
à
pleurer
pour
nous
consoler.
Elle
va
nous
permettre
de
surmonter
notre
chagrin
et
de
trouver
plus
de
paix
intérieure.
Suite
à
un
deuil,
nous
avons
la
sensation
d'être
coupés
de
la
réalité,
de
vivre un cauchemar et d'être en pleine anesthésie émotionnelle.
Nous
prendrons
alors
"Clematis"
(Clématite).
Cet
élixir
va
nous
permettre
de
mieux
accepter
la
réalité
de
la
situation
et
de
se
familiariser
avec
l'idée
de
la
séparation.
Elle
nous
permet
de
revenir
sur
terre
et
de
s'ancrer.
La colère
C'est une phase caractérisée par un sentiment de colère face à la perte. La culpabilité peut s'installer dans certains cas.
C'est
une
période
de
questionnement.
La
perte
devient
consciente
et
nous
pouvons
avoir
une
agressivité
tournée
vers
les
autres
et
envers
nous-même.
La
plupart
des
personnes
s'attendent
à
éprouver
du
chagrin,
de
la
peine
à
la
mort
d'un
proche,
mais
ils
ne
prévoient
pas
de
se
sentir
en
colère.
Pourtant
c'est
une
facette
tout
à
fait
normale
du
deuil.
Si
nous
sommes
furieux,
en
rage
ou
tout
simplement
irritables,
c'est
normal.
Nous
avons
le
sentiment
que
la
personne
n'aurait
pas
du
mourir.
Nous
pouvons
aussi
nous
sentir
responsables
et
retournons
notre
colère
vers
nous-même.
On
se
culpabilise.
Les
reproches
peuvent
même
être
tournés
envers
le
défunt.
Les
croyants
peuvent
même
diriger
leur
colère
contre
Dieu
mais la rage a simplement pour objet la vie, l'univers ou la fragilité de l'existence humaine.
La
colère
peut
prendre
diverses
formes:
assaillis
par
la
tristesse,
la
panique,
la
douleur,
la
solitude
mais
surtout
par
une
violente
colère.
Celle-ci
n'a
pas
de
limite
et
prouve
que
nous
sommes
doués
de
sentiments.
Elle
est
proportionnelle
à
l'amour
perdu
quand
elle
s'apaise
car
elle
finit
toujours
par
s'apaiser.
Le
deuil
prend
alors
une
autre
forme.
Les
Fleurs
de
Bach
apaisent
la
colère
et
l'agressivité
et
amènent
à
la
compréhension
que
rien
ne
changera
la
situation
et
nous
apaisent.
Dans
cette
situation,
nous
pouvons
prendre
plusieurs
fleurs
selon
nos
besoins:
“Holly”
(Houx)
si
nous
avons
besoin
de
hurler
notre
colère,
de
crier,
d'exprimer
notre
agressivité,
notre
haine
et
aussi
nos
crises
de
rage.
Cette
fleur
va
nous
permettre
de
libérer
cette
colère,
notre
sentiment.
Elle
nous
aide
aussi
à
pardonner,
à
retrouver
l'équilibre
et la paix intérieure.
Nous
pouvons
aussi
utiliser
”Willow”
(Saule)
quand
nous
pensons
que
nous
vivons
une
injustice
ou
nous
sentons
victimes.
Willow
va
nous
permettre
d'accepter,
de
regarder
le
monde
de
façon
plus
objective.
L'élixir va nous aider aussi dans la lutte contre l'apitoiement et le ressentiment.
La
Fleur
de
Bach
"Cherry
Plum"
(Prunus)
est
indiquée
lorsque
nous
avons
peur
de
perdre
notre
sang-froid,
quand
nous
sommes
en
pleine
violence,
quand
nous
avons
envie
de
frapper
les
autres,
en
pleine
dépression
et
pour
symboliser
"peur
de
péter
les
plombs".
Elle
apporte
un
sentiment
de
calme
et
une
paix
intérieure.
Cette
fleur
nous
permet
de
penser
et
d'agir
à
nouveau
d'une
manière
calme
et
claire.
Nous
retrouvons
la
paix
de
l'âme.
Il
ne
faut
surtout
pas
avoir
honte
de
la
colère.
Il
faut
s'exprimer
et
ne
pas
garder
ce
sentiment
en
soi
car,
comme
nous
dit
le
Docteur
Bach:
"Nous
nous
provoquons
aussi
un
déséquilibre
physique
et
dans
ce
cas
là,
nous
pouvons
nous
déclencher
des
maladies,
affecter
notre
foie
ou
notre
vésicule
biliaire.
Il
est
important
de
réguler
nos
émotions.
Il
est
nécessaire de sortir le cri."
Le marchandage
La
troisième
phase
du
deuil
est
le
marchandage.
C'est
la
phase
de
négociation
ou
de
chantage.
Nous
essayons
de
négocier avec Dieu: "Dieu, je t'en supplie, rend-le moi, (rend-la moi) et je te promet que ça, je ne le ferais plus".
Nous
voulons
que
la
vie
redevienne
comme
avant.
Notre
culpabilité
va
souvent
de
paire
avec
le
marchandage.
Même
avec
la
douleur,
nous
ferions
n'importe
quoi
pour
ne
pas
avoir
tant
de
chagrin.
Ce
marchandage
évolue
avec
le
temps.
Il
commence
d'abord
par
la
survie
de
l'être
aimé.
Nous
marchandons
pour
nous
soulager
mais
la
tragique réalité est que celui ou celle que nous aimions est bel et bien parti à tout jamais.
Les Fleurs de Bach sont nécessaire pour accepter, reprendre confiance en soi et rester dans le présent.
Nous
pouvons
utiliser
Pine
(pin
sylvestre)
quand
nous
nous
sentons
coupables
de
n'avoir
rein
vu,
de
n'avoir
rien
pu
faire
ou
de
ne
pas
avoir
fait
assez.
Cette
fleur
va
nous
permettre
d'avoir
de
nouveau
un
jugement
équilibré.
Nous
n'éprouvons
plus
ce
faux
semblant
de
culpabilité,
on
s'accepte
et
on
se
pardonne.
La dépression
Cette
quatrième
phase
du
processus
de
deuil,
plus
ou
moins
longue,
est
caractérisée
par
une
grande
tristesse,
des
remises
en
question,
de
la
détresse.
Les
endeuillés
ont
parfois
l'impression
qu'ils
ne
termineront
jamais
leur
deuil
car
ils
ont
vécu
une
grande
gamme
d'émotions.
En
réponse
à
une
grande
perte,
cette
phase
dépressive
semble
sans
issue.
On
se
replie
sur
soi
dans
une
profonde
tristesse
et
on
se
demande:
"A
quoi
bon
continuer
à
vivre".
Nous
rentrons
dans
une
apathie, état de fatigue accompagné d'une indifférence ou d'une absence d'émotion et de désir.
La
dépression
arrive
car
on
prend
conscience
qu'il
n'y
a
plus
rien
à
faire.
Il
faut
accepter
la
situation
et
certaines
personnes
ont
besoin
de
prendre
des
antidépresseurs.
Après
un
deuil
il
est
normal
d'être
triste.
C'est
une
réaction
adaptée,
normale,
et
non
une
maladie
comme
l'est
la
dépression
clinique,
caractérisée
par
un
état
dépressif
aigu
ou
chronique.
Traiter
la
dépression
du
deuil
consiste
à
créer
un
équilibre.
Après
la
disparition
d'un
être
aimé,
l'impression
de
toucher
le
fond
est
poignante.
Pleurer
sans
cesse,
se
négliger
soi-même
en
se
retirant
d'une
vie
devenue
sans
intérêt,
sont
des
signes
probants
d'abattement.
Il
est
temps
de
réagir
avec
les
Fleurs
de
Bach.
Dans
ce
cas,
elles
aident
à
garder
goût
à
la
vie
et
évitent
de
glisser
dans
trop
de
négativité.
Dans
cet
étape,
nous
pouvons
utiliser
“Wild
Rose”
(Eglantine)
lorsque
nous
sentons
une
lassitude,
un
manque
de
goût
de
vivre.
Cette
fleur
va
nous
permettre
de
nous
donner
à
nouveau
envie d'entreprendre quelque
chose. Notre énergie revient et nous donne de la motivation.
Nous
allons
utiliser
“Sweet
Chestnut”
(châtaignier)
car
nous
sommes
au
bout
du
rouleau.
Notre
épreuve
est
trop
dure
et
nous
sommes
dans
une
impasse.
Cette
fleur
est
aussi
intéressante
quand
nous
nous
retrouvons
avec
des
épreuves
les
unes
derrière
les
autres.
On
se
sent
seul,
abandonné,
sans
espoir,
sans
issue,
dans
une
phase
de
désespoir
total
et
d'abattement
profond.
En
utilisant
cet
élixir,
nous
nous
sentons
enfin
libérés
de
ces
sentiments
de
désespoir.
Il
va
nous
permettre
de
retrouver
une
tranquilité
d'esprit, un esprit combatif et le dépassement de soi.
L'acceptation
La
dernière
étape
du
deuil,
l'acceptation,
est
la
phase
ou
l'endeuillé
se
sent
mieux.
La
réalité
de
la
perte
est
beaucoup
mieux
comprise
et
acceptée.
Il
peut
ressentir
encore
de
la
tristesse
mais
a
retrouvé
son
plein
fonctionnement.
Il
a
également
réorganisé
sa
vie
en
fonction
de
la
perte.
L'acceptation
n'est
pas,
comme
certains
le
pensent,
le
fait
de
s'accommoder
de
la
disparition
de
l'être.
Comme
le
dit
Elisabeth
Kübler-Ross:
"Personne
ne
se
console
jamais
de
la
perte
d'un
être
cher"
.
Cette
étape
nous
permet
d'accepter
que
la
personne
soit
physiquement
partie,
que
nous
ne
pouvons
plus
l'entendre,
la
voir,
la
toucher,
et
admettre
cet
état
de
fait.
Nous
cessons
d'en
vouloir
à
Dieu
et
réapprenons
à
vivre
sans
la
personne.
Notre
univers
a
été
bouleversé
et
nous
devons
nous
y
adapter
et
tout
réorganiser.
Il
est
important
d'avoir
conscience
que
ce
n'est
que
progressivement
que
nous
allons
être
dans
l'acceptation
et
chacun
à
son
rythme.
Il
est
d'autant
plus
nécessaire
pour
l'entourage
de
respecter
la
personne
endeuillée,
de
lui
laisser
le
temps,
de
ne
pas
la
plaindre,
d'être
à
son
écoute
et
de
la
respecter
dans
sa
peine
et
pour
elle-même.
Après
avoir
accepté
le
deuil,
nous
recommençons
à
prendre
goût
à
la
vie
mais
sans
oublier
le
défunt.
Nous
recommençons
à
avoir
des
liens
d'amitié,
à
ressortir, à rire, à vivre.
Les
Fleurs
de
Bach
aident
à
laisser
le
passé
derrière
soi
sans
l'oublier
et
à
orienter
son
regard
vers
le
futur.
Nous
nous
adaptons
à
une
nouvelle
vie.
L'époux,
l'épouse,
l'enfant,
le
parent,
l'ami,
l'animal,
avaient
un
status
et
signifiaient
par
là
même la position sociale et affective du survivant.
Nous
avons
la
phase
de
remontée
pour
sortir
de
l'impasse.
C'est
la
remontée
vers
l'espérance,
l'acceptation,
le
pardon,
la
quête
du
sens
et
du
renouveau
et
la
sérénité.
Il
est
très
important
d'exprimer
ses
émotions
pour
ne
pas
somatiser.
Dans
l'acceptation,
nous
avons
un
changement.
Nous
pouvons
pour
cette
étape,
utiliser
“Walnut”
(Noyer). Cette fleur va nous aider à accompagner ce changement et à prendre soin de soi.
Nous
avons
ensuite
l'étape
du
pardon,
pardon
à
soi-même,
renoncement
à
l'illusion,
déculpabilité.
Nous
pouvons
ici
utiliser
deux
fleurs
déjà
mentionnées
plus
haut,
“Holly”
(Houx)
et
“Pine”
(Pin
sylvestre).
Nous
avons
des
difficultés
à
pardonner
au
défunt,
à
nous-même
et
encore
plus
à
ceux
qui
sont
partis
par
un
suicide
ou
aux
personnes
impliquées
dans
le
décès.
Nous
nous
en
voulons
de
créer
de
nouveaux
liens.
La
fleur
Holly
nous
aide
à
pardonner
et
à
se
pardonner.
Elle
nous
permet
de
déverrouiller
le
coeur,
de
revenir
dans
l'amour
et
de
rester
ouvert.
Quand
nous
nous
sentons
coupables,
que
nous
avons
des
remords,
nous
pouvons
utiliser
Pine. Cette fleur nous permet de nous déculpabiliser, de se pardonner et d'accepter la situation.
Nous
avons
aussi
l'étape
de
la
quête
du
sens
et
du
renouveau.
Il
s'agit
de
reconnaître
et
d'accepter
que
le
deuil
a
permis
de
faire
des
choses
non
envisageables
dans
l'ancienne
situation.
Pour
cette
étape,
nous
allons
utiliser
la
fleur
“Chestnut
Bud”
(Bourgeon
du
marronnier)
quand
nous
ressentons
des
difficultés
à
faire
le
bilan
de
notre
relation
avec
la
personne
décédée.
L'élixir
va
tendre
vers
une
meilleure
intégration
de
notre
relation
avec
le
défunt.
Nous
ne
ferons
plus
les
mêmes
erreurs.
Nous
allons
mieux
assimiler
les
expériences et en tirer des leçons.
Pour
les
personnes
qui
vivent
avec
la
nostalgie
du
passé,
nous
avons
la
fleur
“Honeysuckle”
(Chèvrefeuille).
Il
faut
que
nous
arrivions
à
vivre
de
nouveaux
attachements,
à
regarder
devant
nous
et
ne
plus
vivre
avec
le
passé.
On
repense
sans
cesse
à
ceux
que
nous
avons
aimés,
nous
essayons
d'échapper
au
présent.
Cette
fleur
nous
aidera
à
revenir
dans
le
présent.
Nous
pourrons
entrevoir
des
possibilités
pour
l'avenir.
Elle
nous
redonne
confiance
et
nous
permet
de
vivre
dans
l'ici
et
maintenant
au
lieu
de
nous
accrocher
au
passé.
De
cette
façon,
le
bonheur
du
passé
peut
s'intégrer
au
bonheur
du
présent.
Une citation du docteur Bach:
"Plus nous progressons, plus nous devenons bienfaisant pour ceux qui nous entourent".
Dr Edward Bach
Le Deuil - Perte d’un être cher